Le comité " Un Apprentissage - Un Avenir" regrette vivement cette décision.
Il conteste la position défendue par le SEM arguant que la question des apprentis interrompus dans leur formation ne se posera plus grâce à la nouvelle loi sur l'asile et s'inquiète du sort réservé aux centaines d'apprentis en Suisse depuis plusieurs années.
Il prend acte des déclarations du SEM qui souligne que les cantons ont une marge de manœuvre pour prolonger l'autorisation de séjour de 6 mois, soit de demander la régularisation de jeunes très intégrés (permis B humanitaire).